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Je m'intéresse particulièrement aux sujets politiques qu'ils soient sensibles ou non, je ne suis affilié à aucun groupe politique. Néanmoins je ne suis pas apolitique car je pense que chaque être humain est politique.

Les articles et documentaires que je partage ici posent des questions mais ne reflètent pas nécessairement mon point de vue dans sa totalité sauf si je suis l'auteur du document partagé.

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Mohamed Merah avait des relations avec la DCRI, selon l'ex-patron de la DST


Source : Ladepeche.fr




Yves Bonnet, ex-patron de la Direction de la Surveillance du Territoire (DST)

Yves Bonnet/Photo DDM P.C.
Yves Bonnet/Photo DDM P.C.


Pour reprendre le mot d'Alain Juppé, y a-t-il eu des « failles » dans l'affaire Mohamed Merah ?
La Direction Centrale du Renseignement Intérieur (DCRI), c'est vrai, connaissait Mohamed Merah. Est-ce pour autant que la DCRI a failli en ne le mettant pas sous surveillance plus importante, plus serrée ? Je ne pense pas qu'il faille aller jusque-là parce que c'est toujours difficile de savoir ce que quelqu'un a l'intention de faire. Je le sais par expérience. De plus, il ne faut jamais oublier que la surveillance d'une personne nécessite des moyens considérables et qu'aujourd'hui, s'il y a une faille, c'est dans la modicité des moyens de nos services de sécurité. Indiscutablement, les moyens qui sont mis à la disposition de la DCRI ne sont pas suffisants pour couvrir la totalité des besoins. Je parle des moyens matériels, mais surtout, humains.
Pourtant, des éléments interpellent. Le 10 septembre 2010, le patron de la DCRI, Bernard Squarcini, expliquait au Journal du Dimanche qu'il plaçait en tête des menaces du terrorisme islamiste « le Français converti qui se radicalise et monte son opération seul » et les djihadiste français « qui partent en Afghanistan ». Comment expliquer que Merah repéré, la DCRI n'ait pas vu de risque après avoir eu un entretien avec lui, le 14 novembre 2011 ?

Ce qui, personnellement, me paraît poser question, c'est que le garçon avait manifestement des relations avec la DCRI comme on l'a appris à travers les déclarations de Bernard Squarcini lui-même. C'est-à-dire qu'il avait un correspondant au Renseignement intérieur. Alors appelez ça « correspondant », appelez ça « officier traitant »… je ne sais pas jusqu'où allaient ces relations, voire cette « collaboration » avec le service, mais on peut effectivement s'interroger sur ce point.
Pour mettre un mot sur les choses, était-il un indicateur de la DCRI ?
Eh bien voilà… c'est exactement ça le problème. Car ce qui interpelle, quand même, c'est qu'il était connu de la DCRI non pas spécialement parce qu'il était islamiste, mais parce qu'il avait un correspondant au Renseignement intérieur. Or avoir un correspondant ce n'est pas tout à fait innocent. Ce n'est pas anodin.
On a évoqué aussi un retard au début de l'enquête. Qu'en pensez-vous ?
Oui, il y a eu du temps perdu par les juges. On aurait dû dès le départ considérer que c'était un acte terroriste. Tuer des militaires gratuitement est un acte terroriste. Mais il faut reconnaître, et c'est malheureux, qu'on s'est moins intéressé aux assassinats de militaires qu'aux assassinats d'enfants. Ce qui est un autre débat. Mais oui, dès le départ, un juge antiterroriste aurait dû être saisi et c'est bien un problème judiciaire, car dès qu'il y a un crime commis, c'est la justice qui intervient.
A ce propos, c'est pourtant Claude Guéant qui a monopolisé les écrans. était-ce le rôle du ministre de l'Intérieur de commenter en direct l'action du Raid ?
Claude Guéant n'avait absolument pas à communiquer. C'est tout à fait clair. Le ministre de l'Intérieur n'a pas à intervenir dans une affaire qui est entre les mains des juges. Non seulement l'autorité administrative n'a pas à interférer sur l'enquête -je rappelle que M. Guéant, tout ministre qu'il soit, n'est pas officier de police judiciaire- mais il a encore moins à commenter le déroulement de l'enquête.
Que pensez-vous de la façon dont a été conduite l'intervention pour interpeller Mohamed Mehra ? Ce choix du siège et de l'assaut plutôt que celui, qui prime habituellement lors des interpellations d'etarras, par exemple : une arrestation discrète, dès que le suspect sort de chez lui ?
A priori, il y a eu un grand temps de latence. Le temps de latence devrait profiter aux professionnels, les plus nombreux, les mieux équipés, les mieux entraînés… Après, sur les données de l'intervention, je m'en remettrai à l'avis de Christian Prouteau, s'il y a un expert en France, c'est bien lui : il est étonné qu'on n'ait pas réussi à le prendre vivant. Il pense qu'on n'a pas utilisé les bons moyens, et qu'on s'est bêtement privé de l'expertise du GIGN, et il faut reconnaître que dans ce genre d'affaire, les plus professionnels, les plus qualifiés et les meilleurs, ce sont les gendarmes du GIGN. Après, pourquoi a-t-on voulu prendre le Raid..?
Pour des questions politiques ?
Certains le disent. Je n'irai pas jusque-là : je n'ai pas le dossier en mains. Mais quand on juge d'une intervention violente où les policiers risquent leur vie il faut être prudent et mesuré, faire en sorte que les policiers ne risquent pas leur vie et ça pour moi, c'est une donnée extrêmement importante. à présent je suis de ceux qui regrettent vraiment qu'il n'ait pas été pris vivant et beaucoup de questions restent posées. Sur une affaire comme celle-là, il faudrait une expertise.
Une commission parlementaire ?
Je verrais plutôt l'Inspection générale de la police nationale et l'inspection générale de la gendarmerie. Pour moi, c'est un problème de techniciens. Les parlementaires n'apporteraient rien au débat, si ce n'est que la commission d'enquête parlementaire a des pouvoirs juridiques.
Y a-t-il eu une légèreté de l'action policière au vu de tout cela ?
La légèreté, c'est peut-être beaucoup dire mais on peut avoir le sentiment que les considérations médiatiques l'ont emporté sur tout le reste. Et on peut se poser la question de l'efficacité du dispositif « Vigipirate rouge ». Je la pose de façon récurrente, car en l'occurrence, on aura remarqué sa parfaite nullité. Les écoles sont censées être protégées par Vigipirate rouge et le contre exemple est terrible. Vigipirate, c'est de l'affichage et ça ne sert à rien. Par contre, renforcer les moyens de la DCRI, et des services de police en amont, oui. Mais depuis un certain nombre d'années, on sacrifie, on rogne sur les crédits, on baisse sur la qualité des personnels. Quand j'étais député, on a supprimé un certain nombre de postes de commissaires pour les remplacer par des gardiens de la paix, excusez-moi, mais ce n'est pas le même niveau.
Ces événements ont cependant fait remonter la droite au créneau sur le thème du « laxisme » supposé de la gauche, sur ces questions de sécurité. Qu'en pensez-vous ?
Cette accusation ne vaut pas un clou. Vraiment pas un clou. J'ai été directeur de la DST sous des gouvernements de gauche, la suite a prouvé que je n'étais pas de gauche puisque je suis devenu député Udf, mais la gauche ne m'a jamais demandé ma carte et j'ai pu agir de manière totalement libre, sans contraintes et avec le soutien de mes ministres, singulièrement Gaston Deferre. Dire que la gauche est plus laxiste que la droite, c'est du grand n'importe quoi.
Les mesures annoncées par Nicolas Sarkozy ?
Je dis attention aux libertés, il ne faut pas tomber dan le travers de mesures liberticides. De plus, notre arsenal de lois est suffisant. Commençons par appliquer les lois.


Une semaine après la tragédie, les questions qui se posent encore


Quel a été le rôle des services de renseignements intérieurs ?
A l'automne 2011, Mohammed Merah revient d'Afghanistan. Le 22 novembre, il se rend à une convocation au commissariat. Il est interrogé par deux personnes. Un policier de la direction régionale du renseignement intérieur, la DRCI, et un spécialiste de la mouvance islamiste, envoyé spécial de la direction centrale à Paris. Mohammed Merah se remet alors d'une hépatite contractée au Pakistan, va leur expliquer qu'il s'était rendu là-bas pour faire du tourisme…
Les fonctionnaires seront bien obligés de le laisser repartir car faute d'infraction, aucune charge ne peut être retenue contre lui. Il Mais ils vont poursuivre une surveillance discrète, qui a débuté il y a déjà bien longtemps, dès ses premiers séjours au Pakistan ou en Afghanistan. Ils trouvent le garçon « bizarre », sournois, potentiellement dangereux… Alors, qu'aurait-il fallu faire à ce moment-là ?
À quoi a servi Vigipirate ?
Depuis le 7 juillet 2005, date des attentats à Londres, le niveau d'alerte Vigipirate a constamment été maintenu au rouge. Vigipirate associe l'action des forces armées et de la police sur les sites sensibles. Les patrouilles mixtes armées-police sont assurées de 7 heures à 22 heures, en principe. Les écoles, les lieux de culte, les endroits dits « sensibles ». Mais ce plan n'a rien empêché dans l'accomplissement des meurtres, notamment devant le collège Ozar Hatorah.
Que pouvait-on espérer dès lors, d'un plan Vigipirate écarlate ?
« Un nazi ou un islamiste » ?
Dès le début de l'enquête, tout de suite après les meurtres des soldats de Montauban, les policiers ont eu la conviction que ce geste ne pouvait être que celui d'un « nazi ou d'un islamiste ».
Or, selon certains policiers, les personnes pouvant correspondre à ce profil dans le Grand sud représentent à peine une quinzaine de personnes. Pourquoi n'a-t-on pas repéré plus vite Mohammed ? Sans doute parce que le garçon avait un profil atypique, entre le petit voyou de quartier et l'islamiste d'occasion : contrairement à son frère, il n'avait pas les habitudes ou les comportements d'un islamiste. « Il nous a roulés dans la farine » dit un enquêteur .

L'adieu au steak


L'industrie agroalimentaire tente de nous persuader que consommer de la viande est bon pour la santé et que celle-ci est nécessaire à notre équilibre alimentaire. Or de nombreuses études prouvent que trop de viande rouge peut non seulement menacer la santé, mais même raccourcir l'espérance de vie. Quant aux viandes blanches, elles contiennent trop souvent des résidus d'antibiotiques. 

De manière générale, les élevages sont devenus des entreprises high-tech dans lesquelles on oublie totalement que les animaux sont des êtres vivants et non de simples produits. Sans parler des abattoirs. Et pour nourrir ces animaux qui fourniront les 40 millions de tonnes de viande produits chaque année, l'Europe doit importer du fourrage, par exemple du Paraguay, où quelques gros producteurs profitent de ces commandes tandis que la majorité de la population subit les conséquences, parfois dramatiques, de l'utilisation massive des pesticides. Pire encore : grâce à cette exploitation des ressources mondiales, la production européenne est tellement bon marché que les pays émergents préfèrent importer la viande d'Europe plutôt que de soutenir les producteurs locaux.[...]




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Sarkozy est soupçonné d’avoir touché de l’argent liquide de Bettencourt le 26 avril 2007 en pleine campagne électorale


Source de l'article écrit par Imhotep pour Agoravox



Cette fois-ci, il ne s'agit plus seulement de Woerth et de son rendez-vous avec Maistre mis en taule préventive dans la nuit de jeudi à vendredi dernier, Woerth accusé par Caire Thibout d'avoir reçu de l'argent (150 000 €) en liquide de Bettencourt, mais de Sarkozy lui-même qui aurait reçu du liquide en avril 2007 en pleine campagne électorale.
Claire Thibout a confirmé plusieurs fois qu'elle pensait que Sarkozy venait chez les Bettencourt toucher une enveloppe (cela s'ajoute aux déclarations de Loktane qui a accusé Sarkozy d'être venu au palais de Bongo chercher des mallettes de liquide, cela s'aoute au financement par Kadhafi selon le fils lui-même). Cette fois-ci c'est le retour d'une commission rogatoire de Suisse à la demande du juge Gentil qui a apporté de nouvelles informations explosives et entraîné la mise au frais du grand chambellan.
Sud Ouest affirme ceci : Patrice de Maistre, l'ancien gestionnaire de fortune de la milliardaire, a été écroué notamment parce que l'instruction démontrerait le versement de 800 000 euros pendant la campagne de 2007.
Il y a donc des faisceaux de présomption forts qui amènent à penser que cette campagne électorale a été financée illégalement. Dans le détail, et là cela commence à être très très chaud pour Sarkozy : Le premier aurait eu lieu le 5 février, ce qui correspond exactement à la date où Éric Woerth, alors trésorier de l'UMP, et Patrice de Maistre se sont rencontrés. Le second, toujours de 400 000 euros, daterait de l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle. Le 26 avril très précisément. Une heure après ce versement, Liliane Bettencourt aurait eu une conversation avec le photographe François-Marie Banier, qui avait pour habitude de tout noter scrupuleusement dans son journal de bord. Les enquêteurs de la brigade financière de la préfecture de police de Paris y auraient notamment découvert la trace des coursiers ayant convoyé ces fonds, mais aussi les propos de la milliardaire qui aurait déclaré : « De Maistre m'a dit que Sarkozy avait encore demandé de l'argent, j'ai dit oui. »
Enfin, la procédure permettrait de démontrer que Nicolas Sarkozy serait venu rencontrer André Bettencourt, à son domicile, le samedi 31 mars 2007. L'entretien n'aurait pas duré plus d'un quart d'heure. Il ne serait pas venu chercher l'argent, et on ne sait pas sur quoi les discussions ont porté. «  Des témoins attestent une visite du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, au domicile des Bettencourt pendant la campagne électorale de 2007 », écrit le juge Jean-Michel Gentil dans l'ordonnance de saisine du juge des libertés et de la détention rédigée jeudi dernier.
On voit qu'il y a corroboration de la déclaration de Claire Thibout comme quoi elle n'avait pas assez pour les 150 000 € et que Maistre lui avait dit que c'était bien utile d'avoir des comptes en Suisse. L'histoire du carnet de Banier est connue de longue date. On voit que Courroye, lui, ne semblait pas très intéressé par ces carnets, pas plus que les comptes en Suisse qu'il n'est pas allé consulter, ne se concentrant que sur la possible escroquerie à l'encontre de la veuve dorée.
Mais comme un bonheur ne vient jamais seul, les juges qui s'intéressent à l'affaire Karachi aurait trouvé, selon Médiapart, la source illicite du financement de campagne de Balladur. Vous aurez ci-dessous en pdf l'article en libre lecture de Médiapart
C’est la connexion inespérée, le chaînon manquant entre deux affaires explosives : Takieddine et Balladur. Après avoir multiplié les investigations bancaires, le juge Renaud Van Ruymbeke vient de retrouver sur un compte de transit utilisé par les marchands d’armes, à la banque SCS Alliance de Genève, la trace d’une sortie en espèces de dix millions de francs en avril 1995. L'argent provient directement de la vente des frégates en Arabie.
Cette somme d’argent est très précisément celle que l’équipe d’Édouard Balladur verse mystérieusement, le 26 avril 1995, sur le compte de campagne de l’ancien premier ministre, au Crédit du Nord. Ce versement en espèces de 10 050 000 francs, révélé par Mediapart en 2010, est resté sans explication jusqu’à aujourd’hui malgré les dépositions de Nicolas Bazire, l’ancien directeur de campagne, Renaud Donnedieu de Vabres, membre du cabinet de François Léotard puis de l’équipe de campagne, et René Galy Dejean, l’ancien trésorier de la campagne, ancien député et maire du 15e arrondissement de Paris.

Comme vous le voyez le financement illicite de campagne semble être une habitude de ce clan.
Comme à chaque fois je reste fasciné que Sarkozy puisse si impudemment et de façon si arrogante être candidat sans que cela ne le gêne, ni ne gêne la presse, ni la commission des comptes de campagne. Je suis fasciné qu'avec le fiasco absolu de l'affaire Merah, les « un meurtre par jour » à Marseille, il soit encore considéré comme en capacité de défendre la France et qu'il soit si haut dans les sondages. Serions-nous un peuple de mafieux, de masochistes, de fous, d'aveugles ?
Il serait temps que d'ici la mi-avril la presse fasse un travail incessant de poser encore et encore les questions :
Qu'en est-il de ces deux déclarations de patrimoine dont l'une est mensongère et l'autre très certainement sous-estimée ?
Qu'en est-il de ces affaires Karachi, Sawari, Takiedine, Gaubert, Donnedieu de vibres, Bazire ?
Qu'en est il du fait qu'un homme surveillé par la DCRI puisse se fournir un arsenal de mercenaire et qu'il faille tant de temps pour ne pas l'arrêter ?
Qu'en est-il de cet assaut quand le frère de Merah a pu être cueilli et que lui a pu resister à un contre trente ?
Qu'en est-il de Woerth et de l'accusation de Claire Thibout ?
Qu'en est-il de cette suspicion de financement directement versé à Sarkozy et des autres enveloppes kraft décrites par Claire Thibout ?

Peut-on supposer que ces sommes offertes - si cela était prouvé - ne serait en fait non pour la campagne, qui ne serait en fait qu'un bon prétexte afin que Bettencourt crache au bassinet sans regarder de près, mais pour Sarkozy lui-même ?
Comment peut-il oser se présenter à cette élection compte tenu de tous ces faits ?
Je vous rappelle le texte sur les affaires Woerth mis à jour, ce jour-même : Les petites affaires de l’Immaculé Eric
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Affaire Balladur la justice retrouve en Suisseles 10millions fantomes - Mediapart

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Affaire Balladur la justice retrouve en Suisseles 10millions fantomes - Page 2 Mediapart


Il nous reste quatre semaines pour nous débarrasser de ce pouvoir. Souvenons-nous à chaque instant de cette campagne qu'Eric Woerth a été mis deux fois en examen dont une pour recel de financement illégal de parti ce qui est une forte suspicion de l'illégalité de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 et donc l'illégalité de son élection. Trouvez aussi ici la vraie timeline de Sarkozy (journal Facebook) Faisons notre Révolution en 2012, et avant si possible. Et votez en conscience après avoir lu ce livre des méfaits du clan Sarkozy Le Sarkozyland et ses méfaits(epub) ou Le Sarkozyland et ses méfaits(issuu)
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Si vous êtes intéressés par les textes ci-dessous, vous pouvez les retrouver en cliquant sur les liens et ce totalement gratuitement car il est hors de question que je touche un Kopek sur le dos de la Sarkozye qui, étant le règne du bling bling et de l’argent roi et corrupteur, sera combattue par son contraire : la gratuité (ou en compensation faire un don à Agoravox ou vous abonnez à Médiapart). Pour simple information, si vous êtes sur iPhone ou iPad, sans flash, en haut de la page dans le bandeau vous pouvez télécharger les textes en pdf, et pour tous les diffuser le plus possible autour de vous. Pour le télécharger il y a un onglet sous le texte. Il faut vous inscrire à Issuu ce qui permet aussi de télécharger tous les textes nombreux et intéressants de ce site. Sinon vous pouvez toujours vous désinscrire ensuite. Si tout cela vous gêne je pourrais vous les envoyer par e-mail (imhotep.forumlogos@free.fr). Le texte sur Woerth est régulièrement mis à jour (aujourd’hui 24é version du 9 février 2012) :
 
 N’oublions jamais :
  • l’affaire Karachi
  • l'affaire Takieddine (patrimoine de 40 m€ non imposé, Karachigate, SAWARI II, MIKSA (350 millions d'euros), contrats avec la Libye notamment d'espionnage de la population avec l'appui d'une entreprise française et commissions occultes, tractations obscures avec la Syrie, la protection qu'il a ou a, eu selon Mediapart, de la DGSE
  • l’affaire GDF
  • l’affaire Tapie, enrichie d'évasion fiscale du magot vers la Belgique
  • l’affaire Clearstream
  • l’affaire Bettencourt
  • les affaires Wildenstein
  • l'affaire César
  • l'affaire Pleyel
  • l'affaire Facebook
  • l’affaire de Compiègne
  • l’affaire Peugeot
  • l'affaire Abdallah Senoussi, bras droit de Kadhafi, patron des services spéciaux libyens et beau-frère de Kadhafi, condamné à une peine de perpétuité en France dans l'affaire de l'attentat contre le DC10 d'UTA et visé depuis lors par un mandat d'arrêt international., que Guéant et Sarkozy ont tenté de protéger
  • les affaires Djourhi, Takieddine
  • les possibles mallettes de Bongo pour financer la campagne de 2007
  • les micros partis de Copé, Wauquiez, Woerth, Sarkozy etc.
  • l'affaire du Fetia Api
  • l'affaire Dexia près de 12 milliards d'euros de pertes
  • les discours de Caen, Metz, Nice, du bois de Boulogne, Dakar, Riyad, Latran et du Puy en Velay, la lettre de Guy Môquet, le parrainage d'un enfant de la Shoa, sur la mort de Ben Laden
  • l'invitation des dictateurs pour le 14 juillet, celle de Kadhafi avec les ors, le tapis rouge, les petits plats dans les grands, celle d'El Assad en décembre 2010, le copinage avec Dos Santos, les silences sur le Tibet, le Darfour, le prix Nobel de la paix, la présence l'ouverture des JO de Pékin et le fils Louis dans les bras de Poutine
  • les fils Pierre et Jean invités dans les voyages officiels à l'étranger (Mexique, Maroc) alors qu'ils ne représentent aucun intérêt pour le bien de la nation, la protection du fils Pierrot, son rapatriement d'Odessa
  • la gestion catastrophique de la crise Géorgienne (le Russes y sont encore et ont implanté des bases de missiles), celle de la crise financière, celle de l'Europe, celle des révolutions tunisienne et égyptienne, le fiasco libyen, l'inaction en Syrie
  • l’affaire de la Jatte, du Fouquet's payé par Desmarais, du Paloma payé par Bolloré, de la villa mexicaine, de Wolfeboro payé par les dirigeants de Prada et Tiffany, des repas au Bristol 2 fois par semaine, du voyage en Egypte, celle des stylos, celle de la déclaration de patrimoine …
  • l’affaire Pérol
  • l'affaire Yannick Blanc
  • l’affaire de l’Epad (et des deux scooters)
  • Gandrange
  • les vaccins du virus H1N1
  • les accords entre l'UMP et le Parti Communiste Chinois, l'UMP et la mairie de Paris pour payer les frasques de Chirac, l'envoi par l'UMP des bulletins d'adhésion aux restaurateurs dans la période de la baisse de la TVA à 5,5 %
  • les affaires Yade, Boutin, Copé, Juppé, Joyandet, Bertrand, Blanc, Estrosi, Lefebvre, Santini, Proglio, Amara, Laporte, Péchenard, Mitterrand, Ouart, Solly, Soubie, Richard, Fillon, Squarcini, Marleix, Charon, Longuet, Bachelot, Mignon, Morano, Giacometti, Besson, Courroye,Tron, Laroque (Baroin), Guéant (contrats avec la Libye), Dupuydauby, Fontaine, Squarcini, Courroye, Ceccaldi Raynaud, fils Tibéri …
  • l'utilisation du contre-espionnage pour des affaires privées
  • l'utilisation de l'Elysée pour recevoir les caciques de l'UMP et les satellites jusqu'à plusieurs fois par semaine, l'utilisation des moyens de l'Etat pour la propagande et pour préparer et faire la campagne du candidat Sarkozy, la proposition de Sarkozy à Lauvergeon d'une prime de 2 ans de salaires comme si Aréva lui appartenait et qu'il sortait l'argent de sa poche
  • les légions d'honneur (Servier, Widenstein, Desmarais, Frère, Maistre, Bourgi, Richard, Peugeot etc.)
  • l'Air Sarko One (250 millions d'euros dont 50 % de dépassement selon René Dosière) et ses deux fours à plus de 131 000 € (TTC et avec l'étude), le cocktail de New York à 400 000 euros, le dîner pour l'UPM à 1 million d'euros, les 4 X 4 Nissan de Megève
  • la proposition de loi sur la déchéance de la nationalité française et son extension, et le débat sur la nationalité, le fichier EDVIGE, Wauquiez et son cancer de la société, le RSA
  • l’affaire de la rémunération illégale de septembre au 31 décembre 2007 (rémunération comme ministre de l'intérieur alors que Nicolas Sarkozy est président), l'augmentation stratosphérique, le divorce, le mariage, l'inscription hors délai sur les listes électorales, la déclaration des impôts en retard, le tout illégal ou non pénalisé
  • la circulaire Hortefeux, ses amitiés avec Takieddine, ses déclarations d'Auvergnat, celles de Guéant dont celles répétées sur l'échec scolaire des enfants d'immigrés, l'autre récidiviste, celles de Guaino (béatification, prison, etc.)
  • la nomination à la têtes des chaînes audio et vidéo publiques par le pouvoir
  • la réforme constitutionnelle
  • les ministres aussi maires ou élus, le mélange des genres, la non séparation de l'exécutif et du législatif avec le retour sans élection des députés virés du pouvoir 
  • l'irresponsabilité pénale du Président de la république
  • la position d'Hortefeux dans la condamnation des 7 policiers, et ses deux condamnations à lui
  • l’affaire des sondages
  • les classements du parquet
  • le site France.fr (des millions d'euros pour rien)
  • les évictions des préfets pour crimes de lèse-pelouse ou de sifflets
  • la paralysie des villes et les moyens de quasi guerre (2 000 CRS pour 600 habitants par exemple) au coût pharaonique pour les déplacements du président, les 12 000 € de frais de bouche par jour, chaque jour, la baisse des œuvres sociales de l'Elysée passées de 300 000 € en 2006 à 165 000 en 2010
  • l’affaire de l’espionnage des journalistes par le contrespionnage
  • l’affaire de la validation des comptes de campagne de Balladur et de Chirac
  • la scientologie
  • l'affaire Servier dont Nicolas Sarkozy a été l'avocat. Coût 1,2 milliards à la Sécurité Sociale en plus des morts.
  • l'affaire Bongo
  • la proposition de MAM d'aide à Ben Ali et son pouvoir pendant la révolte tunisienne, les lacrymos et son voyage entre Noël et le jour de l'an et ses quatre mensonges fondamentaux, les petites affaires des parents, et Ollier (ses amitiés libyennes en plus), l'utilisation de la Libye et du Japon par Nicolas Sarkozy pour raison électorale
  • les vacances de Fillon payées par Moubarak dont la clique a détourné plus de 45 milliards de $ et dont 3 ministres ont été arrêtés pour corruption et détournement de fonds publics, et sa justification, celles Sarkozy au Maroc. Et la Ferrari prêtée en 2009 en pleine crise à Fillon, ses voyages à 27 000 € pour retourner en Sarthe alors que le train met 1h20
  • la possible affaire Clara Bruni
  • l'affaire Facebook
Vignette salon de l'agriculture

Surface Libre ?

Un liquide dans un récipient, en prend toujours la forme, il n’a donc pas de forme propre.
Lorsqu’il est au repos, sa surface est toujours plane et horizontale : on dit qu’il a une surface libre.
Mais là n'est pas la question...