RSS

Qui êtes-vous ?

Ma photo
Etudiant en art et ethnologie, rêveur et grand amateur de surfaces libres.

À tout les visiteurs !

Je m'intéresse particulièrement aux sujets politiques qu'ils soient sensibles ou non, je ne suis affilié à aucun groupe politique. Néanmoins je ne suis pas apolitique car je pense que chaque être humain est politique.

Les articles et documentaires que je partage ici posent des questions mais ne reflètent pas nécessairement mon point de vue dans sa totalité sauf si je suis l'auteur du document partagé.

J'ai créé cette plateforme afin de mettre en avant un certain type de contenu, d'informations qui me semblent pertinentes et je vous encourage à faire le tri à votre guise.

Le débat est ouvert !

Bonne visite !

PS : Vous pouvez aussi me retrouver sur http://99lefanzine.com/

Rejets d’iode radioactif en Europe : urgent de déterminer l’origine exacte de la contamination


Article trouvé sur realinfo, article source d'AFP



LYON – La Criirad a estimé mercredi, après la détection en France de rejets d’iode radioactif dans l’air en provenance d’un pays inconnu, qu’il y avait
urgence à déterminer l’origine de la contamination, afin de protéger les populations proches de la source de ces rejets.
Mardi, l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a annoncé la détection dans l’air en France de mystérieux rejets d’iode radioactif, trop faibles toutefois pour constituer un danger.
L’origine de ces rejets étant inconnue, l’IRSN a appelé le coupable à se dénoncer et les pays européens à coopérer pour le démasquer.
De faibles niveaux d’iode 131 ont été relevés en République tchèque et en Pologne notamment.
Pour ce qui concerne la France, les analyses lancées par l’IRSN montrent de très faibles niveaux de concentration d’iode radioactif dans la moitié nord du pays.
Et dans son communiqué, la Criirad (Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité) souligne que ses 5 balises de contrôle de la radioactivité en Vallée du Rhône n’ont jusqu’à présent détecté aucune contamination.
La Criirad fait part de sa préoccupation dans la mesure où, plusieurs semaines après le début de la contamination, aucune autorité, ni au niveau international,
ni au niveau national de quelque pays que ce soit, n’a été en mesure de désigner l’origine de la contamination.
Pour la Criirad, il y a urgence car les populations proches de la source pouraient avoir été ou être encore exposées à des doses importantes de radioactivité.
S’agissant de l’iode 131 rejeté dans l’atmosphère, les doses subies par ingestion dans les jours suivant le rejet peuvent être plus élevées que celles liées à l’inhalation, met en garde la Commission.
Des irradiations inutiles peuvent donc être encore évitées si les populations concernées sont informées et que des mesures de protection sont prises, conclut la Criirad.
AFP





Article suivant source de Lemonde




D'où proviennent les traces d’iode 131 détectées en France ?



Détection de radioactivité dans un centre d'évacuation de Fukushima, le 30 mars 2011.



Il y a "urgence à déterminer l'origine de la contamination". Après la détection en France de rejets d'iode radioactif dans l'air en provenance d'un pays inconnu, la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (Criirad) s'inquiète pour les populations proches de la source de ces rejets.

Mardi, l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a annoncé la détection dans l'air en France de ces mystérieux rejets d'iode radioactif, trop faibles toutefois pour constituer un danger, et demandé que le coupable se dénonce et que les pays européens coopèrent pour le démasquer. De faibles niveaux d'iode 131 avaient aussi été relevés en République tchèque et en Pologne quelques jours auparavant.


L'EUROPE CENTRALE EST VISÉE
L'alerte avait été lancée le 11 novembre par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) après détection de traces d'iode 131 en République tchèque, puis l'annonce de pays voisins (Pologne, Autriche et Slovaquie notamment) ayant constaté la même contamination au-dessus de leur territoire. Tout cela "laissepenser que le rejet viendrait plutôt d'Europe centrale ou d'un peu plus loin", analyseDidier Champion.
Pour ce qui concerne la France, les analyses lancées par l'IRSN montrent de très faibles niveaux de concentration d'iode radioactif dans la moitié nord du pays. Et dans son communiqué, la Criirad souligne que ses cinq balises de contrôle de la radioactivité en vallée du Rhône "n'ont jusqu'à présent détecté aucune contamination".
Mais la commission fait part de sa préoccupation dans la mesure où "plusieurs semaines après le début de la contamination, aucune autorité, ni au niveau international, ni au niveau national de quelque pays que ce soit, n'a été en mesure de désigner l'origine de la contamination" et met en garde : "les doses subies par ingestion dans les jours suivant le rejet peuvent être plus élevées que celles liées à l'inhalation".




Articles pouvant vous intéresser :  Nucléaire, la bombe budgétaire
2
  1. un gars dans la rue

    17 novembre 2011 à 13:32

    il me semble que les infos en on parler mais vraiment vite fait.

  1. Asnieb

    17 novembre 2011 à 22:12

    Arf, je pense que tant que ça ne sera pas un problème grave ou très grave ils n'en parleront pas trop. A moins que ça fasse polémique d'un coup et qu'il soient contraint à en parler... ce qui serait plutôt une bonne chose, ça de donnerait de sacrés arguments contre le nucléaire!
    Après Fukushima, Fort Calhoun, Tricassin en France et l'autre encore en écosse ça fait beaucoup d'accidents en 1 ans... et encore c'est ce qui à été le plus "médiatisé".

Surface Libre ?

Un liquide dans un récipient, en prend toujours la forme, il n’a donc pas de forme propre.
Lorsqu’il est au repos, sa surface est toujours plane et horizontale : on dit qu’il a une surface libre.
Mais là n'est pas la question...